Sentier écarlates P2 : Coulonges - L’Hommaize

Coulonges, Benaize et Les Herolles

Coulonges (86084)

Le territoire communal est arrosé par la rivière Benaize.
Le nom du village proviendrait de "colungiis" qui est un mot dérivé du latin "colonica" qui signifie "terre sur laquelle est établi un colon".
Au lieu-dit les Hérolles se tient chaque 29 de mois une foire importante attestée dès le Moyen Âge.

Lieu
Le moulin Un barrage retient l'eau tandis qu'un bief en conduit une partie jusqu'à un barrage équipé de vannes mobiles permettant de libérer un courant plus rapide qui entraine la roue à aubes du moulin. De nombreux moulins à farine ou à foulon furent installés le long de la Benaize dès le Moyen Âge.

Le château du Pin Le château du Pin dont le donjon est inscrit comme Monument Historique depuis 1979 et les logis, les communs et la terrasse depuis 2002.
Le donjon est une haute tour carrée située à l'arrière du logis. Il date du xiiie siècle. Réaménagé au xve siècle.

L'église de Coulonges L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul est une ancienne église d'un prieuré qui dépendait de l'abbaye Saint-Augustin-lès-Limoges. Elle devient au xixe siècle, après la période révolutionnaire, l'église paroissiale du village.

Gens : Évariste Jonchère (1892-1856) : sculpteur né à Coulonges, Grand Prix de Rome.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Coulonges_(Vienne)

Fleix (86098)

Gouex (86107)

Située à environ 7 km au sud de Lussac-les-Châteaux et à 44 km de Poitiers, la commune est bordée à l'est par la Vienne qui la sépare de Persac au sud-est et de Lussac-les-Châteaux au nord-est. En outre d'être bordé par la Vienne, le territoire communal est traversé par Le Goberté (issu du Mortaigues), affluent de la Vienne.

Le nom du village dérive de l'anthroponyme romain Gaudius. En 1793, la commune s'appelait Gonex. Sur les cartes de Cassini, la commune s'appelle Goix.

Préhistoire
La grotte du Bois Ragot36 fut découverte en 1968, sur les indications d'une habitante, par Henri Reigner, André et Sylvie Chollet au cours d'une campagne de prospection archéologique et paléontologique sur la commune de Gouex. Son occupation préhistorique est avérée pour la période 13400-12400. L'étude des restes fauniques montre des préférences saisonnières dans les pratiques de chasse : - grande faune : d'avril à octobre. - lièvres : juillet-février, - poissons : d'octobre à juillet, - harfangs : en hiver,

Parmi les vestiges osseux de la période de Bolling -11 000/ -10 000 figuraient de nombreux restes d’oiseaux déterminés par Véronique Laroulandie Aigle royal (Aquila chrysaetos) Canard colvert (Anas platyrhyncos) Canard souchet (Anas clypeata) Cygne chanteur (Cygnus Cygnus) Grand Corbeau (Corvus corax) Grue (Grue sp) Harfang (Nyctea scandiaca) Hibou grand-duc (Bubo bubo) Lagopède (Lagopus sp) Oie (Anser sp.) Râle des genêts (Crex crex)

Histoire
Une usine de production des métaux ferreux a été créée aux environs de 1655 au creux de la vallée du ruisseau de Goberté. Une digue jetée en travers permettait d'utiliser la force hydraulique. L'entreprise fut réunie à celle de Lhommaizé en 1787. Le haut fourneau cessa son activité des 1791, en raison de l'insuffisance du cours d'eau.

Lieux et monuments

https://gouex.fr/fr/rb/251617/chemins-de-randonnees
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gouex
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-gouex.html
https://openagenda.com/region-nouvelle-aquitaine-journees-europeennes-du-patrimoine-2020/events/visite-virtuelle-de-la-commune-gouex?lang=en

Haims (86110)

Haims (86110)

La commune est traversée par 2,5 km de cours d'eau dont les principaux sont la Chambron sur une longueur de 1,5 km et la Salleron sur une longueur de 1 km.

Haims est un des plus anciens villages du Trimouillais. Il est mentionné dès 954 sous la forme d'Agenti. De nombreux ferriers témoignent de l'occupation du site pendant l'Antiquité. En effet, sur la commune, huit ferriers ont pu être repérés grâce à des vues aériennes. Les ferriers sont des sites où l'homme de l'Antiquité pratiquait la réduction du minerai de fer dans un bas fourneau et dont, il ne subsiste aujourd'hui que des résidus formant de vastes traces rouges et noires. Ce sont ces plaques qui sont visibles dans les champs par photos aériennes. La découverte d'un mobilier résiduel (tégulac, tessons, céramique, morceaux de paroi ou sol de four) ainsi que l'étude des résidus - laitiers et scories - ont permis la datation de ces implantations humaines soit l'époque gallo-romaine.

Fin juillet 1944, un autre terrain est aménagé pour l’évacuation de SAS anglais, qui combattaient dans la Vienne depuis le début du mois de juin (ceux de l’opération Bullbasket, dont une partie furent massacrés en forêt de Saint-Sauvant). Une piste de 1 300 m est aménagée pour permettre le décollage de deux Lockheed Hudson du squadron 161 de la RAF. Ceux-ci atterrissent dans la nuit du 7 au 8 août, et emportent les 20 SAS anglais survivant, en laissant sur place onze des Français du 3e SAS venus les remplacer. Une autre opération a lieu deux nuits plus tard : un Douglas C-47 de l’US Air Forcedépose huit SAS français, avec des mortiers légers et des mitrailleuses Vickers jumelées, et emporte trois SAS anglais, accompagnés de sept pilotes américains qui avaient été abattus derrière les lignes allemandes et recueillis par les maquis français.

Carriere
Le bourg de Haims possède des carrières de pierre toujours en exploitation sur son territoire.

Lieux et monuments
La tour de la commanderie de Rouffac au lieudit la Commanderie.
Le château de Thenet.
Le gué de Thenet.
L'église Saint-Michel avec des peintures au plafond.
Chökhor Ling, monastère gelugpa.

Gens
L'ethnologue français Jean Poirier est né à Haims le 4 juin 1921.
André Rossignol est né à Haims, le 16 décembre 1917.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chökhor_Ling
https://www.poitou-brenne.fr/haims/

Isle de Jourdain

L'Isle-Jourdain (86112)

  1. La commune est traversée par 5 km de cours d'eau comprenant principalement :

  2. La Vienne sur une longueur de 2,2 km,

  3. Le ruisseau de Thierzat sur une longueur de 2 km,

  4. La Grande Blourde sur une longueur de 0,5 km,

  5. Le ruisseau de la Roche sur une longueur de 0,4 km.

Le nom de la commune proviendrait du latin Insula Jordani, signifiant littéralement l'île de Jourdain. Le seigneur Jourdain qui vivait vers 1080-1120 a laissé son nom à la petite île située sur la Vienne qui était le cœur de sa seigneurie.

La commune serait habitée depuis au moins le ive siècle.

Le seigneur Jourdain (vers 1080-1115 ?) percevait le péage du pont et vivait dans son château construit sur l'îlot rocheux qui servait de part et d'autre d'appui au pont34.

L’Isle-Jourdain accueille favorablement les idées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté.
Durant la Seconde Guerre mondiale, l’Isle-Jourdain est à l’écart des principaux combats terrestres. Cependant, la guerre aérienne se déroule jusqu’au-dessus du village : en juin 1943, un Focke-Wulf 190 est abattu en combat tournoyant et s’écrase à L’Isle-Jourdain. De 1940 à 1942, le 72e régiment d’artillerie, régiment de l’Île-de-France de l’armée d’armistice, est cantonné à Issoudun, Dun-sur-Auron et L'Isle-Jourdain.

Lieux et monuments
Patrimoine religieux

  • Église romane Notre-Dame-de-Saint-Paixent. L'église est inscrite comme monument historique depuis 1973
    Patrimoine civil

    • Le pont Saint-Sylvain existe à cet endroit depuis le xie siècle sur une route reliant la Marche au Poitou. L'ouvrage actuel a un aspect identique à celui décrit en 1746. Le pont a été restauré en 1823 à 1829. Il a été élargi en 1875 et 1964. Le pont doit son nom à la statue de saint Sylvain qui a été érigée sur un parapet en 1876. Le corps du saint martyrisé jeté dans la Vienne aurait été retrouvé à cet endroit qui va alors devenir un lieu de pèlerinage.

    • Le viaduc est le lieu de passage de l'ancienne ligne de chemin de fer longue de près de 40 km qui reliait Saint-Saviol au Blanc. L'ouvrage a été réalisé en pierre de taille entre 1881 et 1884 suivant les plans de Paul Séjourné. Il franchit la vallée de la Vienne à une hauteur de 40,25 m avec ses 12 arches, de 20 m d'ouverture. Sa longueur totale est de 304 m. La ligne a été inaugurée en 1891 mais le trafic ferroviaire s'est arrêté en 1969.

    • Les barrages : le canton de l’Isle-Jourdain compte une succession de trois barrages-usines sur la Vienne pour la production d'électricité : La Roche-Millac à l'amont, en 1921 qui forme un plan d'eau de 108 hectares - Chardes-Isle-Jourdain à l'aval, en 1926 qui forme un plan d'eau de 35 hectares - Jousseau-Millac à l'amont, en 1928 qui forme un plan d'eau de 66 hectares. Les barrages permettent aussi de régulariser le débit de la Vienne entre l'Isle-Jourdain et Availles-Limouzine.

    • L'Isle-Fort, accessible par le pont Saint-Sylvain.

    • L'ancienne gare de l'Isle-Jourdain, devenu maison pour associations.

Gens: Yvan Gallé, né le 15 avril 1907 à l’Isle-Jourdain, artiste peintre. François-Mathurin Lepelletier. Jean Breloux (1823-1893). Pierre Rogale (1886-1936). Mathias Coustans (1906-1945).

http://www.grhaij.fr
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Isle-Jourdain_(Vienne)
https://www.commune-mairie.fr/l-isle-jourdain-86150/
https://www.vienneetgartempe.fr/wp-content/uploads/2018/04/laissez-vous-conter-lislejourdain.pdf

Jouhet (86117)

Jouhet (86117)

Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe

Sur le territoire de la commune, le village de Rillé était au cours de la Seconde Guerre mondiale le centre d'un maquis polonais appartenant au réseau Monika. Ce maquis fut actif notamment en 1944 et reçut, à la ferme du Pouillotté, plusieurs parachutages (équipements radio, armes, munitions). En juin 1944, quelques jours après le débarquement de Normandie, plusieurs membres du SOE furent parachutés acheminant notamment des fonds et des instructions.

Lieu
L'église paroissiale Notre-Dame. Citée dès 1093, le prieuré Notre-Dame dépendait alors de l'abbaye de Saint-Savin-sur-Gartempe.
Près de l'église paroissiale se trouve une ancienne chapelle funéraire.
Elle a été classée comme Monument Historique en 1908. Elle date du xve siècle. Elle conserve des peintures du xvie siècle.

Patrimoine naturel
Les brandes de la Pierre Là sont classées comme zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique. Elles sont situées dans l’angle sud-oriental du département de la Vienne. Les brandes de la Pierre Là sont un conservatoire d’espèces rares et fragiles : 16 végétaux sont protégés ainsi que 15 espèces d’oiseaux.
Les prairies maigres qui relient entre eux les divers noyaux de landes sont d’une grande importance pour l’avifaune : c’est là que nichent en effet plusieurs limicoles menacés que chassent diverses espèces de rapaces nichant dans les landes.
Centenille naine,

https://inventaire.poitou-charentes.fr/documents/fichiers/inventaires_territoire/vallee-de-la-gartempe/jouhet.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhet
https://inventaire.nouvelle-aquitaine.fr/dossier/jouhet-presentation-de-la-commune/2554afc7-4cba-49ff-ad5c-64f623b3d7e9

Journet (86118)

Journet (86118)

Le territoire communal est arrosé par la rivière Salleron

Lieux et monuments
Le prieuré roman de Villesalem (xiie siècle) dépendait de l'abbaye de Fontevrault.
L'église Saint-Martin de Journet est inscrite comme Monument Historique pour son portail depuis 1935
La Lanterne des Morts de Journet est située sur la place de Journet. Elle date du xiie siècle
L’étang de la Gère est une zone classée d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)

https://www.vienneetgartempe.fr/wp-content/uploads/2018/04/depliant-villesalem-journet-final.pdf
http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-vienne-chateau-journet-chateau-ris-chazerat.html
https://www.annuaire-mairie.fr/photo-journet.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Journet
https://www.sentiers-en-france.eu/sentiers-vienne-86/journet/sentier-les-chemins-de-villesalem-boucle-7

Lathus-Saint-Rémy (86120)

Lathus-Saint-Rémy (86120)

La commune est traversée par 32,9 km de cours d'eau dont les principaux sont

  • La Gartempe sur une longueur de 9,2 km,

  • Le Gué De Lande sur une longueur de 5,7 km,

  • La Petite Blourde sur une longueur de 5,3 km,

  • Le Salleron sur une longueur de 4,2 km,

  • Le Ris Conedoux sur une longueur de 2,9 km,

  • Le ruisseau de L'étang sur une longueur de 2,8 km,

  • Le ruisseau de Montagné sur une longueur de 1,9 km,

  • Le ruisseau de La Barre sur une longueur de 1,1 km.

Le nom de la commune proviendrait du latin latus qui signifie côté. Ce nom évoque la situation du bourg, à la frontière entre le territoire des Pictons et celui des Lémovices.
Lathus est une très ancienne paroisse dédiée à saint Maurice d'Agaune, vocable qui situe sa création à la charnière entre l’Antiquité et le Haut Moyen Âge. Sa vaste étendue confirme cette ancienneté. L’église du bourg était autrefois fortifiée. Dans la campagne, plusieurs demeures ont eu un passé de maison forte (château du Cluseau, la Duranderie,la tour de Lenet).
Les FFI du groupe Amilcar défilent à Lathus, le 14 juillet 1944, alors que les Allemands sont encore présents dans la région.

Roc de L’enfer/Les portes d’enfer:
La haute vallée de la Gartempe est un tronçon de la rivière d’une longueur de 6 km. Elle se situe à la fois sur la commune de Lathus-Saint-Rémy et sur la commune de Saulgé, dans le sud-est du département, sur la bordure occidentale du Massif central. La vallée de la Gartempe y est étroite et profonde, localement encaissée entre des escarpements rocheux granitiques. Les parois rocheuses sont ensoleillées ou ombragées selon l’orientation. Le microclimat est frais et humide. La végétation est variée : des lambeaux de landes calcifuges à bruyères, des pelouses hygrophiles rases sur dalles, des bois de ravins...

L’originalité de sa végétation, de sa flore, de sa faune ainsi que son intérêt paysager – connu sous le nom des « Portes d’Enfer », le site est un des plus spectaculaires de la région – justifient la protection et le classement de cette partie de la vallée de la Gartempe. Plusieurs espèces rares ou menacées (poissons, batraciens, oiseaux, insectes) ont trouvé refuge dans ce site.

Lieux et monuments
L'église Saint-Maurice de Lathus-Saint-Rémy est de style roman. La nef a été inscrite au titre des monuments historique en 1926.
L’église du hameau Saint-Rémy-en-Montmorillon, rattachée aujourd’hui à la commune de Lathus-Saint-Rémy, date du xixe siècle. Elle remplace un édifice plus ancien qu’il fallut raser pour des raisons de sécurité. Elle abrite une statue de saint Roch en bois de châtaignier polychrome (xve siècle) parfaitement conservée. Elle était l’objet de pèlerinages importants tout comme la petite fontaine proche de l’église.

Un dolmen classé monument historique depuis 1889. Avec, le développement de l'agriculture intensive, et surtout à partir de 1955, date du début du remembrement, nombre de dolmen ont été démantelés. Le dolmen de Marchain est situé dans un hameau, près d'un ruisseau et à 174 mètres d'altitude. Il est constitué de blocs de granit. La dalle de couverture est triangulaire. Elle est soutenue par trois orthostrates qui délimitent une chambre funéraire de 1,8 m par 1,3 m. Le dolmen était utilisé comme sépulture collective. À l'origine, ce dolmen était recouvert de pierres et de terre pour former une butte artificielle appelée tumulus. Une entrée permettait d'y accéder pour y placer les morts. Érodée par le temps et la pluie, la butte s'est dégradée et seules les plus grosses pierres sont restées.

Le château de Cluzeau est inscrit comme monument historique depuis 1993. Il a été construit sur l'emplacement d'un ancien fort roman.

Sa configuration est irrégulière en raison du socle rocheux et de la présence de l'ancien donjon. Celui-ci a été remanié au cours du xviiie siècle pour le mettre au goût du jour. Le logis est flanqué de deux tours et il est desservi par une tourelle d'escalier. L'élévation se compose d'un rez-de-chaussée et d'un étage. À chaque étage, trois salles ont été aménagées. Une chapelle complète l'ensemble seigneurial. Des souterrains partent du château et servaient de refuge.

Le donjon de Lenest est le vestige d'un château datant du xive. Il est situé à environ 4 km de Lathus, sur la route de Saulgé et situé sur cette commune.

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes56, il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont un chêne pédonculé situé au lieudit la Custière et un Sophora du Japon situé au lieudit Boussigny

https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/lathus-saint-remy/lathus-saint-remy-une-exposition-sur-l-histoire-des-maquis-dans-le-sud-vienne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lathus-Saint-Rémy
https://monumentum.fr/lathus-saint-remy-v-86120-carte.html
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00125692
https://www.cirkwi.com/fr/point-interet/306086-roc-d-enfer-lathus-saint-remy
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Lathus

Lauthiers (86122)

Lauthiers (86122)

Lauthiers est une commune rurale. C'est la commune la moins peuplée de la Vienne.
Les habitants de Lauthiers sont des Althariens (du latin altare, autel)

Lieux et monuments
Le château de la Mothe ou logis de la Motte date de la deuxième moitié du xviiie siècle.
La croix de chemin situé le long de la route départementale D 83.

  • La croix de Cimetière.

  • Le presbytère.

  • Le prieuré Saint-Léger. Le nom de l’église du prieuré Saint-Léger, avec sa charpente en carène de navire, apparaît pour la première fois dans les textes en 1093

    La forêt de Mareuil: Un site de 600 hectares couvert par un réseau de pistes cyclables et de chemins forestiers. Situé sur les communes de Lauthiers, Paizay, Chauvigny (…). Une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), refuge de nombreuses espèces protégées.

https://www.commune-mairie.fr/lauthiers-86300/
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-lauthiers.html https://triangledorhistorique.fr/2019/01/31/lauthiers/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lauthiers
http://www.parvis.poitierscatholique.fr/st-pierre2/Lauthiers.pdf
http://www.observatoire-mammiferes.fr/atlas/commune/86122

Leignes-sur-Fontaine

L’origine du nom viendrait du patronyme « Lemnius ».
« Lemnius », nom d’homme gallo-romain (cf Dictionnaire étymologique DAUZAT-MOSTRAING), pourrait avoir été le premier nom du lieu à l’époque gallo-romaine.
Il existe des traces de voie romaine à « Dizac » et aux « Abattis ». Cette voie reliait Poitiers à Argenton, et Bourges à Autun…

Lieux et Monuments
Le château de Vaucour est inscrit comme Monument historique depuis 1973 pour son élévation et sa toiture.

  • L'église Saint-Hilaire de Leignes-sur-Fontaine. Les chapiteaux de la croisée du transept ainsi que les parois portant des inscriptions anciennes sont classée Monument Historique depuis 1957

“Les moments importants de la vie leignoise Intitulé Leignes-sur-Fontaine, Histoire en photographies, le livre revient sur les bases de l'occupation du territoire de la préhistoire à l'époque moderne, avant de retracer l'histoire de la maison forte de Jarrige, déjà citée en 1544 comme « hostel et maison forte qui se nommoit anciennement Jarrige et maintenant Rozière », et de donner à voir, grâce à de nombreuses reproductions de photographies, les moments importants de la vie leignoise, des premières communions aux mariages en passant par la conscription ou les fêtes de la chasse. L'ouvrage est également enrichi par la reproduction de nombreux objets du musée de Chauvigny. À dévorer sans modération.

« Leignes-sur-Fontaine, Histoire en photographies », collection Memoria momenti n° 41-2020. Sous la direction de Michel Laverré. Site : www.chauvigny-patrimoine.fr”

https://www.leignes-sur-fontaine.fr/index.php
http://www.leignes-sur-fontaine.fr/index.php?option=com_quix&view=page&id=8
https://www.charles-de-flahaut.fr/wordpress/histoire-et-patrimoine-de-leignes-sur-fontaine-vienne/
https://www.centre-presse.fr/article-745443-leignes-sur-fontaine-s-illustre-en-photographies.html
https://www.sentiers-en-france.eu/sentiers-vienne-86/montmorillon/sentier-sentier-de-leignes-sur-fontaine-leignes-sur-fontaine

Lhommaizé (86131)

La commune est traversée par la Dive sur une longueur de 5,3 km
Le nom du village dériverait du mot « lomesec », qui signifierait « l'orme sec »

Au xviiie siècle Jean-Victor de Rochechouart, duc de Mortemart, construit une forge et le château attenant qui existe toujours.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation traversait la commune, du 22 juin 1940 au 1er mars 1943, laissant le chef-lieu en zone libre, avec la plus grande partie du territoire de la commune.

Lieux et monuments
L'église Saint Jean-Baptiste. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel49.

Le château de la Forge. Ce château date du xviiie siècle. Il a été construit pour le duc de Mortemart par l'architecte Michel-Robert Penchaud entre 1763 et 1769.

Il est possible de voir les restes d'une activité industrielle devenue obsolète. À la gare de Chommaizé, à proximité de la voie ferrée Poitiers-Limoges, dans un paysage bouleversé par l'extraction du calcaire à chauffer et que les moutons réoccupent, deux fours avaient été construits par les mines de Faymoreau. Leur activité a cessé dans les années 1950. Un corps de four a disparu. Ces édifices, qui naguère abritèrent une intense activité humaine, ont été laissés à l'abandon.

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes, il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un Paulownia situé dans le bourg, dans les virages de la route nationale N 147.

Gens :
Jean-Victor de Rochechouart, duc de Mortemart (1712-1771)
Michel-Robert Penchaud (1772-1833), architecte.
Louis-Evariste Robert de Beauchamp (1820-1894), maître de forges et homme politique.

https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-lhommaize.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lhommaizé
https://monumentum.fr/forge-verrieres-pa00105493.html
https://www.lhommaize.fr/index.php/vie-locale/89-a-decouvrir
https://www.communes.com/cartes-postales-anciennes-lhommaize